Madame, Monsieur,
Dans la salle d’attente d’un médecin généraliste, 3 à 4 femmes sur 10 seraient victimes de violences conjugales. Le plus souvent, ces femmes n’abordent pas spontanément ces violences, ce qui complexifie la prise en charge des conséquences physiques et psychologiques. C’est pourquoi la HAS vous recommande, en tant que professionnels de premier recours, de demander à toutes vos patientes si elles subissent ou ont subi des violences par le passé, même en l’absence de signe d’alerte. L’objectif est que vos patientes vous identifient comme un interlocuteur en cas de besoin. 96 % des femmes françaises sont favorables à ce questionnement systématique. A l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, ce samedi 25 novembre, la HAS rappelle que, pour vous accompagner dans cette démarche délicate, elle met à disposition plusieurs documents et outils. |
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En espérant qu’ils vous soient utiles.
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